Armalite Chapitre 7 :

 

Sauvage Sausage Waste 2

A Fist Full of Shit

(ndt: Monsieur Emeré, Caisse 5, s-v-p !)

 

 

Vous en aviez rêvé, on l’a fait, la suite du western scatologique où il fait 10.000 degrés à l’ombre des cactus qu’il n’y a pas (encore)…

 

 

Petit rappel de l’épisode précédent :

 

Tu es venu à Armalite 05, c’est très bien.

 

Tu faisais partie des gagnants, c’est très très bien, mets le sur ton C.V., ça ne t’arrivera pas une seconde fois…

 

Tu faisais partie des perdants, c’est encore mieux, car tu as côtoyé des êtres de lumière, les organisateurs, qui, pour une fois, accompagnaient Erwin-le-pauvre pour baiser sa mère au lieu de tirer des billes dans vos grosses gueules de prolos.

Du coup ; les loosers ont gagné et le pape est mort.

 

Une minute de silence.

 

 

Souvenez-vous : des indiens cons et laids (d’après David Krokette) avaient quitté le Canada pour aller vivre au Mexique. Là, ils ont réveillé les terribles adorateurs de Mogul, une espèce de dieu de la merde, comme seuls ces nègres de mexicains en ont.

Les mexicains, menés par le célèbre Don Tequila, le roi de la tequila en or massif, virent d’un mauvais œil l’arrivée de ces romanos d’indiens. Seulement voilà, comment les chasser alors qu’on fait la sieste et qu’on baise la mère d’Erwin… alors, ils eurent l’idée de faire appel à une bande de couillons de cowboys, menés par un nain qui se faisait appeler David Krokette (Daddy K pour les intimes, c’est-à-dire la mère d’Erwin)…

 

            -Mais dites-moi, Docteur Armalite, je vois qu’il est beaucoup question de la mère d’Erwin dans cette histoire, insinueriez-vous qu’il s’agit d’une femme de petite vertu, une fille de joie, une essoreuse de parkings ?

 

            -Mais c’est une pute, Perrin !

 

Extrait d’une discussion entre le Docteur Armalite el le père Richard.

 

 

Bref, les indiens et les monstres étant trop laids pour oser aborder la mère d’Erwin (c’est dommage, car elle aurait dit oui), ils gagnèrent la partie et annexèrent le fief de Don Tequila qui depuis rumine sa vengeance. Au fait, Erwin, tu dois payer un logo à Christophe. On sait que tu es près de tes tunes, mais t’as qu’à les emprunter à ta mère.

 

 

 

And now, something totally different :

 

Pourquoi Armalite passe à 1230 euros?

 

Tu te rends bien compte que dans un souci d’exactitude, le Dr Armalite a du prendre des vacances au Mexique avec la mère d’Erwin pour s’imprégner de la culture locale.

Il y a découvert que, pour une tartine de choco ou de confiture, c’est selon, on pouvait acheter les faveurs de jeunes mexicaines de 12 ans, souples comme des lianes, qui lavent votre voiture tout en baisant la mère d’ Erwin.

 

Note d’Erwin :

 

-Bon, ça suffit avec ma mère, bande d’ordures !

-D’accord mon petit.

 

 

 

 

Background de Total Fucking War 01

 

 

La prophétie s’est réalisée : Mogul s’est réveillé !!! L’imposant dieu de la merde  râle plein sa panse : il ne sait pas digérer l’or … Or au Mexique, tout est en or … merde alors ! Tout y est passé : les nègres, les chevables, les celles des chevables, les cactus peints en or, les sombreros, les toucans en plâtre, … Bref, à perte de vue, de la merde, de l’or massif et des indiens qui dansent. Mogul a mal au cul (c’est pas courant) et ces cons d’indiens continuent de danser. Mogul en pleure de la pisse (mmmh c’est bon la pisse !!!).

Les indiens, eux, au début, étaient contents : ils suivaient Mogul au cul et se délectaient de son fameux nectar (de la merde bien grasse)… puis, au bout de quelques semaines, le nectar se fît plus rare : ils se prenaient continuellement de gros toucans en or massif, voire parfois la mère de l’autre en or massif, en plein dans leurs grosses gueules d’indiens. Tout le monde trouvait ça très drôle, jusqu’au moment ou Big Sleeping Badger, attendant la bouche ouverte la récompense de son dieu, reçu au milieu du front le coin de l’hacienda en or massif de Don Tequila. Et ça, ça fait mal à la tête, croyez-moi !

Là, c’est sûr, quelque chose ne tournait pas rond dans le cul de Mogul.

 

Alors, dites-moi, Dr Armalite, vous avez passé un an dans le cul de Mogul, d’où ce nouvel ouvrage de référence : « La tête dans le cul », par le Dr Armalite, Chevalier des Arts et des Lettres, alors, c’était comment ?

 

-Tout d’abord, je vous emmerde, comme on dit dans le cul de Mogul.

 

-Mais, je ne vous permets pas, espèce de vieux schnock !

 

Sur quoi, le Dr Armalite sort son Opinel en or massif et égorge Alain Delon , grand reporter à La Meuse.

 

Pour plus d’infos sur l’univers magique du cul de Mogul, consultez l’ouvrage du Dr Armalite, disponible aux éditions de La Pléiade ou dans votre pharmacie, à côté des grosses capotes (de la mère de l’autre).

 

 

Les adorateurs de Mogul, nouveau nom original des monstres, héros du dernier roman de Dan Brown (Brown, comme c’est bizarre, c’est la couleur de la merde…) : Caca Boudin, ou les secrets cachés de l’Inquisition, sont devenus très beaux, surtout Fred, qui connaît très bien la mère de l’autre….

 Les adorateurs de Mogul, donc, n’arrivaient pas à faire comprendre à ces enculés d’indiens que Mogul n’aimait pas l’or. Si les indiens étaient devenus si cons c’est pour une raison toute simple : au contact du dieu suprême de la merde, le nègre qui sommeillait en eux s’est réveillé, par un phénomène bien connu des chercheurs du 3ème Reich sous le nom de « Der Groosse Kaka » et que notre spécialiste en 3ème Reich, le Docteur Armalite va nous expliquer :

 

C’est très simple : au contact d’une quantité aberrante de merde, toute personne mal blanchie (un arabe, jean frère, jean-louis wille, un indien, un italien, un croate, un chinois, ….) se transforme en nègre. C’est scientifique.

 

Les monstres sont lents et patients : pour eux c’est un challenge d’éduquer les nouveaux nègres (les anciens indiens). Mogul, par contre est TRES impatient : ça fait déjà des siècles qu’il attendait qu’on le réveille et si c’est pour bouffer de l’or et chier du sang, et ben y trouve que ça valait pas la peine…C’est vrai quoi. Alors il pète, ce qui pour lui veut dire :

« Bon, les p’tits gars, il va falloir se débarrasser des négros dès qu’on en aura l’occasion. Je veux que ça chie ».

Le message était clair pour les monstres et ils allaient sacrifier les nègres-indiens dès la prochaine attaque des cow boys, qui allait se dérouler le 10 septembre 1869 et serait connue comme la sanglante bataille du « Rio del grande plate de la mierda ». 

 

 

 

                                    

 

 

Pendant ce temps,

 

  

dans un camping au Texas, les gros losers de mexicains et de cow-boys font la fête, car à l’époque, loser signifie gros winner (si tu prends toutes les lettres de loser, tu peux devenir un winner et baiser la mère de l’autre). Et winner, ils ne l’étaient pas qu’un peu : les 9/11 de leurs effectifs étaient morts, les indiens dormaient dans leur lit et mangeaient leurs chevaux et les monstres baisaient la mère de l’autre. Ca c’est une putain de victoire ou je ne m’y connais pas ! Mais maintenant, la fin des vacances a sonné, y a plus de bière (de la délicieuse Carapils !!!) et l’hiver arrive. Du coup, c’est le retour au Mexique…

 

On dirait le sud, le temps dure longtemps, et la vie sûrement, plus d’un million d’année… c’est un endroit qui ressemble au Mexique, à l’Italie… Je vais lui couper les oreilles ! chantait d’ailleurs Don Tequila avec ses amis les Poor lonesome cowboys … ses amis ? Les seuls vrais amis pour les mexicains sont en or massif, or, ces cowboys sont en fennec ou en tout cas, ils sentent le coyote crevé. Quel sombre plan ourdissait donc le machiavélique Don Tequila, chevalier de l’ordre du Wyvern ?

David Krokette, n’était pas dupe. Tout en se baignant dans les douches de la piscine de Sraing aan  Texas, il s’esclaffa :

 

- Poum, poum, poum, je me gratte l’anus avec un cactus, et ça pique !!

- ouille, ouille, ouille, je me suis planté une épine dans le gland de la bite et ça chatouille !

- tralala, j’ai coincé mon doigt dans mon cul, et je vais tomber !!

 

En effet, David K. était un imbécile.

 

- Dites-moi, Docteur Armalite, un doigt coincé dans le cul, n’est il pas chez les trappeurs le signe d’un grand malheur ?

- Mais non, abruti, le trappeur s’attrape.

- Ah bon ?

 

 

Donc, fort de cette conclusion limpide, Daddy K. demanda à son lieutenant Benny Bee le trappeur d’avoir une idée à sa place.

-  Si on retournait au Mexique pour taxer l’or, et adorer le Dieu de la Merde ?  proposa ce dernier !

-  Ca marche !  répondit David Krokette en se brossant les couilles avec la mère de l’autre. « Nous attaquerons à l’aube mexicaine (entre midi et 14h00) le petit fort de « Rio del grande plate de la Mierda », le 10 septembre, de cette bonne année 1841, et nous nous arrangerons pour que les mexicains crèvent la gueule dans la merde. Poum poum poum, dégage connasse ».

  

 

 

Extrait d’une interview du célèbre Docteur Armalite par Alain Delon, qui vous présente  la bataille du « Rio del grande plate de la Mierda », 1841-1869, heure locale.

 

-Alors, Dr Armalite, quelles étaient les forces en présence lors de cette terrible journée ?

-Et bien, d’un côté, gardant farouchement le Mexique qui était maintenant la propriété de Mogul, ses adorateurs tenaient le petit fort frontalier de Rio del grande plate de la Mierda.

Avec eux, des nègres à plumes autrefois appelés indiens qui s’étaient cachés dans un buisson pour manger du stron.

-Et en face, noble docteur ?

-En face il y avait le fier Don Tequila et sa queue énorme en or massif. Elle brillait au soleil, comme un astre incandescent du cul de la mère de l’Autre. Bien décidé à reprendre possession de ses terres, il avait mis au point un plan diabolique : cacher chacun de ses hommes derrière un cowboy. Et enfin il y avait  lesdits cowboys, qui se demandaient où les mexicains étaient passés.

-Mais dites-moi, grand Mage, qui remporta cette terrible bataille ?

-Ah, on peut dire qu’il s’agissait là d’une bande de fiers guerriers.

-Oui, mais, qui fut le vainqueur ?

-They were the Metal Kings !!

-Oh s’il vous plait, dites-moi qui prit le dessus?

-AAAAAAAAAAAAAA………….

 

Le docteur Armalite se précipita vers la fenêtre et héla un taxi dans lequel il monta pour ne jamais revenir. Alain Delon, alors jeune reporter se coupa une couille de frustration.